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Prefet Maritime

Le HCM a tenu sa réunion annuelle ce 07 septembre 2017 sous la présidence du Premier ministre Monsieur Sélom KLASSOU à l’Hôtel 2 février Radisson Blu . Au cours de cette réunion, plusieurs communications ont été faites dont

celle du Préfet maritime, le Capitaine de Vaisseau TAKOUGNADI Néyo qui a affirmé que depuis 2013, le Togo n’a plus connu d’actes de piraterie dans ces eaux.

Dans sa communication intitulée « Situation sécuritaire dans le Golfe de Guinée », le Préfet maritime a présenté la situation sécuritaire, juridique et institutionnelle dans le Golfe du Guinée, avant de mettre un accent particulier sur le cas togolais où de profondes réformes maritimes à savoir : des réformes juridiques, institutionnelles, infrastructurelle et sécuritaires ont permis à l’espace maritime togolais d’être sécurisé davantage. En effet, le Togo n’a connu aucun acte de piraterie ou de brigandage dans ses eaux depuis 2013.

En effet il y a eu la création de l’’Organisme National de l’Action de l’Etat en Mer (ONAEM) en 2014, avec ses organes qui sont le Haut Conseil pour la Mer, les services du Conseiller pour la mer et la Préfecture Maritime. Plusieurs mécanismes juridiques ont été adoptés tels que la nouvelle loi sur le code de la marine marchande, qui datait de plus de 50 ans, la loi sur la lutte contre la piraterie à compétence universelle etc. ainsi que plusieurs conventions internationales ratifiées. De nouveaux patrouilleurs de haute mer de dernière génération ont été acquis et participent aujourd’hui à lutter efficacement contre les actes de piraterie, de brigandages et autres actes illicites en mer. Bref, le Togo contrôle aujourd’hui, la totalité de sa côte tous les jours 24h/24 à partir des centres des opérations de Lomé et de Kpémé.

Cette capacité de sécuriser les eaux togolaise a donné une grande confiance aux opérateurs économiques. Ainsi, chaque jour, plus d’une centaine de navires mouillent dans ces eaux. Aussi, les efforts se poursuivent pour protéger davantage les navires, les ports et les installations portuaires conformément au Code ISPS en raison des menaces multiformes dans la sous-région.

Pour finir, le Préfet maritime a rappelé que les fléaux maritimes sont  transfrontaliers, les solutions doivent donc être globales, c’est la raison pour laquelle les pays du Golfe de Guinée doivent privilégier le partage d’informations.

SITE OMI OFFICIEL

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